Avoir le choix de se taire, de s'adapter bien gentiment à un cadre préfabriqué ou sortir de l'identification à des idées et des conditions extérieures pour asseoir son unicité, sa personnelle formation.
S'écouter vraiment, écouter ce que nous exprime notre élan intérieur sans se perdre dans les jugements de valeurs.
Des jugements d'un autre monde, d'un autre temps, d'actualité pour les esprits dinosaures et révolus pour les nouveaux arrivants. Ceux qui ont l'esprit ouvert et le cœur entreprenant.
Ceux qui ont largement compris que le monde d'avant était le monde d'avant et qu'il était maintenant nécessaire d'avancer, d'évoluer et de voir et d'écouter réellement, ce qui est là, en cet instant présent, pour rester vivant.
Alors à ceux qui n'ont pas encore compris que je ne suis plus celle qui se tordait, qui se conformait et qui s'adaptait en oubliant sa légitimité et sa souveraineté, je tiens à affirmer haut et fort qu'ils doivent m'oublier car j'ai compris qui j'étais vraiment et que rien ni personne ne me détournera de mon chemin, celui que je choisis en mon âme et Conscience.
Peu importe si celui-ci correspond au chemin voulu, imposé, formaté par un système empli de préjugés et de jugements de ce qui doit être considéré comme le bien commun.
Mon coeur est et sera toujours au service du plus vaste que mon petit moi et embrassera l'Amour pour chaque être vivant, à commencer par moi, sans oublier qui je suis et sans jamais douter de ma propre valeur sur chaque plan de mon être.
Alors mesdames et messieurs les dictateurs du quotidien, je vous salue bien et je me libère de vos diktats qui ne mènent à rien d'autres qu'à vous enfermer vous-même dans les cases que vous avez créées.
Si je suis en rébellion, à cet instant, c'est avant tout un cri d'Amour pour le vivant que je reconnais dorénavant comme un droit d'exister et sortir de la survivance, à la merci d'autres que soi.
Cela fait du bien d'affirmer haut et fort le droit au bonheur d'être et de se sentir vivant en reprenant pleinement son pouvoir du choix de suivre son propre élan créateur.
Ayant pleinement conscience que ce qui se vit à l'extérieur n'est que le reflet de ce qui se joue à l'intérieur de mon être, c'est à mes parts "dictateurs" et auto-saboteurs que je m'adresse par ces mots. Et en les désignant fermement, Je remets les rênes à mon maitre-coeur, dans un mouvement libérateur.
Sandrine
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