Être soi, en toute simplicité, sans se soucier de la forme à paraître, sans se soucier de la forme d’à côté.
Être une pâquerette ou une orchidée, peu importe du moment que je me sente en cohérence avec la forme créée.
Ce qui importe n’est pas la forme extérieure mais la cohérence divine qui s’anime à l’intérieur, le flux de vie qui circule librement dans un mouvement souple et bienfaisant.
Ne pas entrer en résistance avec ce que je suis dans toute sa création et ses manifestations.
Je suis le divin qui prend forme, tel qu’il a besoin pour œuvrer auprès de ses autres formes, avec chacun sa fonction propre pour opérer en toute cohérence collective unifiée.
Se sentir en parfaite cohérence avec soi-m’aime pour permettre au flux de la vie de circuler et d’œuvrer de la façon prévue et annoncée avant mon arrivée en tant que forme humaine.
Alors oui, peu importe la forme intérieure et extérieure qui est mienne, je suis telle que je suis et je m’en porte à merveille puisque quoi qu’il en soit, je suis de forme divine.
Me sentir en parfaite cohérence avec moi-même en m’affranchissant des croyances de perfection illusoire et d’un modèle de conformité auquel s’adapter.
La clé du bonheur, pour moi, est d’être simplement moi et de me proposer telle que je suis dans l’œuvre divine commune auprès des autres expressions parfaites du divin.
Être divinement parfait tel que l’on est, tel est le destin de tout un chacun sans chercher à ressembler ou se conformer à une autre forme que soi.
Se reconnaître bienheureux dans la forme qui est nôtre en toute simplicité.
Être simplement soi.
Sandrine
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